Secrétaire exécutif de la Coalition des Patriotes Ivoiriens en exil (COPIE), Atho Bélé, semble ne pas vouloir entendre parler d’émissaires du président de la République, Alassane Ouattara au Ghana. Après la dernière visite très mouvementée du ministre Mariatou Koné à Accra, la COPIE aurait eu échos de ce qu’une autre délégation d’Abidjan est en train de s’apprêter pour convaincre les réfugiés ivoiriens exilés au Ghana de rentrer. Atho Bélé avec son organisation de leur côté s’apprête à durcir le ton…

La COPIE semble se réjouir de la résistance opposée à  Mariatou Koné, la  ministre ivoirienne  de la solidarité, de la cohésion sociale et de l’indemnisation des victimes. Et le premier responsable de cette organisation Atho Bélé s’est adressé tout récemment à ses militants au cours d’une assemblée générale extraordinaire. D’entrée de jeu, il a souhaité, féliciter ses vaillants révolutionnaires exilés vivant dans tous les camps de réfugiés au Ghana pour s'être opposés farouchement à la visite de la ministre Mariatou. « Les Ivoiriens matures  sont fières de vous » a dit le secrétaire exécutif de la Copie. Aussi de poursuivre son propos en faisant cette déclaration  « Le président Laurent Gbagbo est fière de vous. Vos camarades réfugiés d'ici et d'ailleurs sont fière de vous. De par votre position vous avez envoyé un message fort à la communauté internationale pour dire que la Côte d'Ivoire va toujours mal. » En revanche, la Copie a profité de la tribune offerte pour dit  interpeler ses camarades sur qui le président Alassane Ouattara  s'appuieraient pour faciliter  la venue des délégations au Ghana. A ceux-là, Atho Bélé a parlé sans détours. « Point de retour d’exilés tant que certaines conditions ne seraient pas réunies ».  Et d’être plus ferme «  Vous n’avez pas votre place en exil. Il serait mieux pour vous  de regagner la Côte d'Ivoire et de laisser ceux qui ont choisi  l’option de l’exil, vivre cette expérience avec toutes les souffrances qui s’y prêtent.   Car il est difficile de vouloir faire le bonheur de quelqu'un contre son gré. » Prévient Atho Bélé à ses militants. 


Atho Bélé, le secrétaire exécutif de la COPIE au Ghana


Relativement à une information  de sources  concordantes  qu’il  aurait reçues, le secrétaire exécutif de la COPIE dit révèle qu’une autre équipe du président Ouattara serait en train de s’activer  pour un come-back au Ghana. Pour Atho Bélé, il n’est point question qu’une autre délégation vienne remuer e le couteau dans plaie. Comme cela  été le cas dernièrement avec la ministre Mariatou Koné. Outre mesure, pour la Copie : «  Si l’avertissement donné   ne leur suffisait pas, les prochains émissaires de Ouattara auront du fil à retordre s’ils venaient à nous parler  du retour des exilés. Cette mission sera encore un échec parce que nous ne sommes pas prêts.  Car nos revendications, ne semblent être prises en compte. » Pour rappel, la Copie   exige la libération de  Gbagbo et tous les prisonniers politique. Faute de quoi, tous ceux qui viendraient de la part du président Ouattara seraient les mal venus.  « De quoi veulent-ils nous parler dans un pays où la liberté d'expression a perdu la langue. » S’indigne Atho Bélé. Pour ce dernier,  être en exil est une posture de combat tout comme une grève de la faim. « Nous n'obligeons personnes, celui ou celle qui est fatigué  peut rentrer  comme il est venu. Ce que nous voulons surtout éviter c'est de faire porter le trophée de notre retour à ce pouvoir sanguinaire. » Fait observer le porte- parole de la Copie.  Il estime que  c'est un combat de libération, tous les peuples. Atho Bélé va jusqu’à prédire la victoire de leur lutte.  Et d’inviter ses camarades à la persévérance. « Soyons dignes et forts car nous somme dans la vérité.  Nous gagnerons ce combat. La souffrance d'un peuple ne dure  tout le temps ». soutient-il.

Ange T. Blaise/ IMATIN.NET

Le Ministre des Transports, Gaoussou TOURE était face aux investisseurs privés français et européens, mercredi 18 mai 2016 à Paris, au 66 avenue d’Iéna 75116, dans le cadre de la mission du Groupe Consultatif pour le financement du Programme National de Développement (PND) pour la période 2016-2020.
A travers des rencontres B- To-B, le Ministre à présenter les opportunités d’investissements dans les différents domaines des transports que sont le ferroviaire, le maritime, l’aérien et le routier. Et ce sont au total 23 projets, dont 16 directement liés au secteur privé, qui ont été exposés. 
Au titre des projets de partenariat public-privé (PPP), Gaoussou TOURE a incité les bailleurs à s’intéresser aux projets de réalisation de l’aérocité de l’Aéroport FHB d’Abidjan; à la conception du nouvel aéroport de San Pedro et de son Aérocité ; à la construction, équipement et exploitation de la gare routière de Bouaké ; à la construction du poste de contrôle juxtaposé de Nigoni (Tingrela); au remblaiement et viabilisation de la baie lagunaire de Vridi – Biétry; à la construction d’un nouveau terminal céréalier au Port d’Abidjan; à la réalisation d’une plateforme logistique (Autoroute du Nord-PK26); au déplacement et à l’extension d’un terminal à conteneurs au port de San Pedro; à l’aménagement et exploitation d’un terminal polyvalent commercial au port de San Pedro pour; à la construction et exploitation d’un terminal polyvalent industriel au port de San Pedro pour ne citer que ceux ci…
Dans son intervention, le Ministre des Transports en Côte d’Ivoire a surtout insisté sur le rôle important que devra jouer le secteur privé dans l’accompagnement de la Côte d’Ivoire vers l’émergence à l’horizon 2020. Car, a-t-il rappelé, notre pays, sous l’impulsion du Président Alassane OUATTARA, s’est engagée à faire du secteur privé le moteur de sa croissance. « Et plus on utilise le secteur privé dans les projets, plus on crée des emplois directs et indirects pour les populations, surtout les jeunes », a insisté Gaoussou TOURE, tout en exhortant les investisseurs à s’appuyer également sur les entreprises locales, notamment les PME, afin de favoriser le développement de celles-ci. 

ABIDJAN.NET

Abidjan - Le président du groupe de la Banque africaine du développement (BAD), Akinwumi Adesina, a réaffirmé, en marge des travaux de la 51e édition des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) et les 42e Assemblées du Fonds africain de développement (FAD) débutés lundi à Lusaka (Tanzanie) sa volonté à appuyer le continent africain à libérer son potentiel énergétique.

Lors d’une conférence de presse du président de la BAD a dit sa profonde conviction que les Africains, avec l’appui de l’institution financière panafricaine, peuvent relever les défis de leur développement, au regard de son potentiel illimité en ressources naturelles notamment énergétiques, solaires, éoliennes, hydroélectriques et géothermiques.

« Nous devons nous estimer heureux parce que les économies africaines sont stables, résistantes et résilientes avec une bonne performance qu’il faut améliorer », a déclaré M. Adesina qui a annoncé l’approbation d’un soutien financier d’environ neuf milliards de dollars aux pays régionaux et au secteur privé pour répondre aux défis que sont éclairer l’Afrique et l’électrifier, nourrir l’Afrique, industrialiser l’Afrique, intégrer l’Afrique et améliorer la qualité de vie des populations africaines.

Les assises annuelles de la BAD prennent fin samedi.

kp/ABIDJAN.NET

Le Parti ivoirien des travailleurs (Pit) est désormais membre du Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). L’information a été donnée, ce lundi 23 mai, au cours de la réunion du bureau du directoire de ce regroupement de partis politiques.

Le parti dirigé par Pr Séka Séka Joseph rejoint ainsi le Rdr, le Pdci, le Mfa,l’Udpci et l’Upci. « Le Président Bédié a donné son accord pour l’adhésion du Pit au Rhdp », a annoncé Amadou Soumahoro, président du directoire dudit rassemblement. Toutefois, a-t-il précisé, le Pit aura un rôle d’observation.

« Ils vont assister aux réunions et débats. C’est au cours d’une réunion de la conférence des présidents que la décision de les adhérer définitivement sera prise », a ajouté le secrétaire général par intérim du Rassemblement des républicains (Rdr). Avant d’inviter le président de ce parti à venir prendre part pour la première fois à une réunion du Rhdp. « C’est l’aboutissement d’un processus. Nous sommes heureux. ... suite de l'article sur Fraternité Matin

ABIDJAN.NET

A l’occasion du séminaire sur « La Cour des comptes et le contrôle des Établissements publics nationaux (Epn) » qui a ouvert ses portes, ce lundi 23 mai, à Yamoussoukro, le ministre du Budget et du Portefeuille de l’État, Abdourahmane Cissé, a indiqué que « les principes de transparence ont été renforcés avec la mise en place du Conseil de gestion dans les Epn ». Mieux, il a annoncé la mise en place de la rotation des contrôleurs budgétaires. Ce, pour assainir la gestion des finances publiques. Ainsi, au dire du ministre, ceux-ci ne passeront pas plus de 3 ans dans la même administration. Ceux qui ont déjà passé de 2 à 3 ans dans le même service, seront mutés dans les prochains jours.

Abdourahmane Cissé a, en outre, salué cette approche de la Cour des comptes qui permettra aux acteurs intervenant dans la gestion des Epn de mieux comprendre son fonctionnement. « Ce séminaire crée les conditions d’une interaction dynamique entre les administrations publiques et la Chambre des comptes qui, sans enfreindre à l’exercice de façon professionnelle des missions respectives des uns et des autres, contribue à mieux cerner les problèmes et à proposer des solutions éprouvées d’office par les différents acteurs au regard de leurs expériences et de leurs attributions. Ce n’est qu’au prix de telles expériences que nous parviendrons à faire des Epn des acteurs de développement économique et social qui remplissent pleinement et efficacement les ambitions justifiant les raisons de leur création », a-t-il déclaré. Avant de souligner que des efforts restent encore à fournir malgré les progrès réalisés.

Pour le président de la Cour suprême, Aphing-Kouassi René, l’État ne peut être un État de droit que si les instruments juridiques par lesquels est assurée la gestion (administrative, économique ou financière) sont connus, maîtrisés et mis en œuvre. ... suite de l'article sur Fraternité Matin

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A la suite de la divulgation de l'information selon laquelle l'ex-président nigerian serait en exil en Côte d'Ivoire, l'un de ses proches collaborateurs a décidé de réagir. Il s'agit de Reno Omokri, ancien collaborateur de Jonathan Goodluck. Dans des tweets, il a démenti l'information relayées par les médias de son pays. 

« Je suis en contact avec l’ancien Président et j’ai parlé avec Nduka Obaigbena. La nouvelle sur l’exil de Goodluck E Jonathan est fausse », a-t-il publié sur mon mur avant de préciser que les voyages qu'effectue le président Goodluck Jonathan ne doivent pas être confondus à l'exil.

Il a assuré que l'ex-président retournera comme prévu au Nigeria une fois sa tournée terminée.
Selon certains proches de l'ancien président nigerian, Goodluck est régulier en Côte d'Ivoire pour suivre ses investissements réalisés dans le secteur du pétrole.

Au Nigeria, l'actuel président Buhari mène une opération anti-corruption en vue de redorer l'image de son pays ternie sur la scène internationale par la réputation d'être l'un de pays le plus corrompu de la planète. 
Pour ce faire, il a mis en place la commission Économique des Crimes financiers (EFCC). A ce jour, plusieurs anciens hauts dignitaires y compris l'ancien chef d'état Jonathan ont été contraints, pour échapper à la justice, de reverser au trésor public tous ce qui a été considéré comme détourné. 

Des millions de dollars auraient été rapatriés de l'Occident surtout de la Suisse et de l'Angleterre.

Lire aussi: Jonathan Goodluck en exil en Côte d'Ivoire: la presse nigériane donne des précisions 

K.O. 

 IMATIN.NET

Après avoir participé à l'élection présidentielle d'octobre 2015, le Front populaire Ivoirien participera aux élections législatives qui se tiendront avant la fin de cette année.

L'information donnée par Pascal Affi N’Guessan, il y a un mois, a été confirmée par ce dernier au cours d'un meeting. 

Apportant plus de précisions, le président du Front populaire ivoirien (FPI) a déclaré qu'il se présentera à Bongouanou, dans la région du Moronou. 

On se rappelle, le candidat malheureux à la présidentielle de 2015 est arrivé premier, uniquement dans sa ville natale de Bongouanou où il a obtenu 55,5% des voix tandis que Ouattara a remporté 38% des suffrages.

Outre l’ex-Premier ministre, des cadres du FPI proches de sa tendance se présenteront à ces élections législatives. Il s'agit notamment de Marcel Gossio, de Christine Adjobi, d'Augustin Komoé.

K.O.  

 IMATIN.NET

Dans le Cadre de la 3ème édition des Journées de l’Entreprise Numérique (JEN 2016), M. Bruno Koné, Ministre de l’Économie Numérique et de la Poste, Porte-Parole du Gouvernement a participé avec son homologue Nooman FEHRI, Ministre tunisien des Technologies de la Communication et de l’Économie Numérique , à un panel de haut niveau qui s’est tenu le 20 Mai 2016 au Palais de la culture. Le Ministre FEHRI conduisait une délégation de 50 entreprises tunisiennes.
Pour illustrer sa vision du numérique, le Ministre FEHRI a dans son adresse, utilisé l’image du Tsunami : surfer sur la vague ou se faire engloutir par les flots impétueux. Pour surfer sur la vague du numérique, il propose une stratégie basée sur quatre piliers: l’accessibilité, la formation, la dématérialisation, et le cadre règlementaire.
Le Ministre KONÉ a quant à lui, salué l’excellence de la coopération ivoiro-tunisienne. 17 conventions ont été signées en un an. Pour revenir à la thématique des JEN-2016, il estime qu’une entreprise numérique doit avoir une vision et un plan numériques, pour toutes les dimensions de son activité. Aussi, le numérique intègre les notions de mobilité et d’accélération qui modifient la façon de concevoir et de gérer les entreprises. 
Après les allocutions d’ouverture, les deux Ministres ont animé un panel, avec pour thème, « Comment améliorer la maturité numérique des entreprises ?». M. Nooman FEHRI a développé son argumentaire autour des quatre piliers cités dans son discours inaugural, à savoir l’accessibilité, la formation, la dématérialisation et le cadre réglementaire et juridique. Quant au Ministre Bruno KONÉ, sa réponse tourne autour de 5 axes qui doivent se développer simultanément. Ce sont : le cadre juridique et réglementaire, le développement d’infrastructures, la création de contenus locaux, le développement des capacités humaines et l’accessibilité. Pour ce dernier axe, il met au centre de ses priorités, la baisse du coût des communications.
En marge des JEN-2016, deux conventions ont été signées, entre d’une part l’Autorité de Régulation des Télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire (ARTCI) et l’Agence Nationale de Certification Electronique (ANCE) de Tunisie, et d’autre part entre l’ARTCI et l’Agence Tunisienne de l’Internet (ATI). La première convention fixera les modalités de coopération dans les domaines couverts par leurs missions respectives, notamment, la sécurité des transactions électroniques, la certification électronique et la cryptologie. La seconde convention entre l’ARTCI et l’ATI, portera notamment sur la gestion des noms de domaine, l’adressage IP et la gestion des points d’échanges Internet. 
Pour mieux comprendre le modèle ivoirien d’économie numérique, le Ministre FERHI a eu deux séances de travail avec l’Agence Nationale du Service Universel des Télécommunications/TIC (ANSUT) et le VITB de Bassam. Il a invité en Tunisie les responsables de l’ARTCI et ceux de l’ANSUT pour poursuivre et approfondir les échanges.
Apres la séance de travail au VITIB le samedi 21 mai, les Ministres FERHI et KONÉ se sont rendus à la cour royale, où en l’absence de sa Majesté TANOE Amon, Roi de Grand-Bassam, ils ont été reçus par la notabilité. Puis ils se sont recueillis à l’Etoile du Sud en signe d’hommage aux innocentes victimes lâchement assassinées le 13 mars 2016.

ABIDJAN.NET

L’hôtel cinq étoiles, le Radisson Blu airport, situé à proximité de l’aéroport international Félix Houphouët Boigny d’Abidjan ouvre ses portes officiellement ce mercredi, a-t-on appris auprès des responsables de ce complexe hôtelier.

En attendant cette cérémonie officielle, pour laquelle sont annoncées plusieurs autorités et personnalités du pays, y compris le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, le Radisson Blu a accueilli ce lundi le président ivoirien et son homologue libérienne, Ellen Sirleaf, à l’occasion d’une visite d’amitié et de travail qu’effectuait la présidente libérienne dans le pays.

Après avoir accueilli son homologue libérienne au pavillon présidentiel de l’aéroport, Alassane Ouattara et son hôte se sont rendus au Radisson Blu Airport pour un tête-à- tête qui a duré environ deux heures. En conduisant son hôte dans cet hôtel pour la rencontre, Alassane Ouattara souhaitait, selon certaines indiscrétions, faire passer un message. Celui de dire aussi bien à la communauté nationale qu’internationale que ce complexe hôtelier est non seulement prêt à accueillir tout client intéressé, mais surtout qu’il est d’un standard international.

Situé à quelque 500 mètres de l’aéroport, le Radisson Blu Hôtel, est un complexe hôtelier 5 étoiles, qui compte 261 chambres et suites avec des équipements modernes à la dimension d’un Hôtel de ce standing. Le coût de réalisation de cet hôtel est estimé à 55 milliards de F CFA.

Porté par le Groupe KOIRA de l’homme d’affaire Ivoiro-Malien Komé Cessé, le Radisson Blu Airport est le résultat d’une convention entre la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), le groupe bancaire BGFI, la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) et le groupe Koira.

Elisée B. ABIDJAN.NET

Un week-end meurtrier dans la région de Tombouctou, au nord du Mali. Deux attaques ont été menées samedi 21 mai, soir et dimanche 22 mai sur l'axe entre Goundam et Tombouctou.

La première attaque a eu lieu samedi soir, vers 22h30, à une vingtaine de kilomètres de Goundam, en direction de Tombouctou. Selon le colonel Maïga de la direction d'information de l'armée, des hommes armés, arrivés à bord d'au moins deux véhicules, ont attaqué des soldats maliens qui sécurisaient une base logistique de Soega-Satom, une entreprise en bâtiment affiliée au groupe français Vinci.

Aucun personnel ne se trouvait sur place, d'après le colonel, qui estime que ce sont les militaires eux-mêmes qui étaient visés. Un soldat a été tué. Quatre blessés ont été évacués vers Tombouctou.

Dimanche matin, toujours dans la même zone, c'est un employé chargé des antennes d'Orange Mali qui a été attaqué. Le véhicule a disparu et l'employé aurait été tué.

Suite à ces attaques, des renforts ont été dépêchés sur place selon le colonel Maïga et des enquêtes ouvertes pour déterminer l'identité des assaillants. Crimes crapuleux, terrorisme ? En février dernier, une recrudescence de violences avait touché Tombouctou : des attaques et embuscades revendiquées alors par al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui avaient coûté la vie à quatre soldats maliens.

 Christ Boli avec RFI/ IMATIN.NET

Comme l'avait annoncé Dominique Kakou, directeur général de la CIE, l'opération de remboursement du trop-perçu sur les factures des consommateurs est lancée. Son démarrage qui était prévu pour le 23 mai, a effectivement débuté ce lundi 23 dès 8h30. Le constat a été fait lors d'une visite à l'agence de la Cie, à Cocody Saint Jean. Les clients se font rares cependant !  

Les deux dames chargées de recevoir les réclamations et de les traiter sont à la tâche et espèrent recevoir davantage de clients, à partir de 10h. Le premier client sollicitait une résiliation de son contrat, quand le deuxième demandait l'édition d'une nouvelle facture dans le cadre de l'annulation des 5% d'augmentation. Les deux clients ont obtenu gain de cause, selon Mme Séka et sa collègue. Pour la résiliation, le client recevra un chèque quand le second bénéficie d’un avoir sur la prochaine facture. Cependant, il devra payer la différence de la consommation mentionnée sur la nouvelle facture qui a été éditée séance tenante.

Aux environs de 8h40, le directeur général de l'Autorité nationale de régulation du secteur de l'électricité, Hippolyte Ebagnitchié a visité cette agence pour s'enquérir du déroulement de l'opération. Il a obtenu les explications des agents de la Cie, puis a poursuivi sa tournée dans d'autres agences de la ville d'Abidjan.

Pour rappel, c'est le 1er mai, lors de la fête du travail, que le Président de la République, Alassane Ouattara, avait pris la décision d'annulation de l'augmentation de 50% du prix de l'électricité en vigueur depuis le janvier 2016. Ainsi que le trop-perçu de l'ajustement tarifaire du prix de l'électricité de 10%, appliqué depuis le 1er juillet 2015. Une mesure qui concerne environ un million d'abonnés sur un effectif global de 1,5 million. « Les quatre points de mesures annoncées par Monsieur le Premier Ministre.

Il s’agit de l’annulation de la hausse tarifaire de 5% du mois de janvier 2016 ; du remboursement des paiements effectués pour les clients « basse tension », qui ont eu une hausse tarifaire au-delà de 10% sur la période de juillet 2015 à mars 2016 ; du remboursement des paiements effectués par les clients industriels, au titre du changement de la plage horaire, à compter de janvier 2016 ; enfin, du remboursement des paiements effectués par les clients industriels qui ont eu une hausse tarifaire au-delà de 10%, sur la période de janvier à mars 2016 », précisait le directeur général de la Cie, Dominique Kakou dans une interview accordée à Fraternité Matin du 17 mai dernier.

Ces ajustements tarifaires décidés par le gouvernement visaient à équilibrer le secteur de l'électricité qui fait face à un gros déficit au sortir de la crise politique de 2011. 

Les abonnés attendus aux guichets sont les particuliers n’ayant pas encore réglé leurs factures bimestrielles jusqu’aux reports successifs des 17 et 31 mai et les industriels pour qui le report va jusqu’au 7 juin. Alors que le gouvernement donne trois mois pour le remboursement, le Dg de la Cie promet le faire en un mois grâce au dispositif déployé par son entreprise.

avec Fratmat/abidjan.net

Une mission du Comité de Protection des Droits des Personnes vivant avec le VIH/SIDA, des personnes à risque, vulnérables et affectées par le VIH/SIDA, organe subsidiaire de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP) séjourne en Côte d’Ivoire depuis ce lundi 23 et ce jusqu’au 28 mai 2016.

La délégation de la mission est composée de l’Honorable Commissaire Soyata Maïga, Vice-présidente de la Commission et Présidente du Comité sur le VIH/SIDA (chef de délégation), de l’Honorable Commissaire Reine Alapini Gansou, membre du Comité sur le VIH/SIDA et Rapporteur spécial sur les Droits des Défenseurs des Droits de l’Homme en Afrique, l’Honorable Commissaire Lucy Asuagbor, membre du Comité sur le VIH/SIDA et Rapporteur spécial sur les Droits des femmes en Afrique et deux experts.

L’objectif de cette mission est, entre autres, de s’enquérir de la situation des personnes vivant avec le VIH/SIDA et des personnes à risque, vulnérables et affectées par le VIH/SIDA, faire l’état des lieux de la question, identifier les avancées réalisées ainsi que les obstacles qui entravent l’exercice et la pleine mesure de leurs droits. Il est aussi question d’évaluer l’impact du VIH/SIDA dans le pays et s’informer, auprès des autorités et autres parties prenantes de la lutte contre la pandémie, des mesures législatives, politiques et autres mises en place en matière de prévention, de traitement, de soin et de soutien pour les personnes sus-indiquées.

Après sa rencontre avec la ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, Mme Paulette Badjo, la délégation visitera les hôpitaux, les centres de santé, de dépistage et structures affiliées. Puis elle s’entretiendra avec les membres du gouvernement (Premier Ministre, Ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Ministre des Affaires Etrangères, Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, Ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, Ministre de l’Education Nationale, Ministre de l’Emploi), le Parlement (Bureau de l’Assemblée Nationale, les Commission en charge des Droits de l’Homme et la question du VIH/SIDA), les autorités judiciaires (Cour Suprême, Juges et Procureurs, Hautes autorités de la Police judiciaire), les Institutions nationales et autres mécanismes en charge de la lutte contre le VIH/SIDA (Commission nationale des Droits de l’Homme, Conseil national de lutte contre le SIDA (CNLS), Commission de lutte contre la violence basée sur le genre, Forum des partenaires en charge de la mobilisation des ressources, du suivi et de l’évaluation de l’exécution des fonds mobilisés pour la lutte contre le VIH/SIDA), les organes du Système des Nations Unies (Haut-commissariat aux Droits de l’Homme, OMS, ONUSIDA, organisations de la Société civile impliquées dans la promotion et la protection des Droits humains et des Droits desdites personnes.

La mission prendra fin par une conférence de presse au cours de laquelle la délégation présentera les observations préliminaires de la visite.



sercom ministère/ ABIDJAN.NET

L’Organisation Internationale du Cacao organisera sa Troisième Conférence Mondiale sur le Cacao (WCC3) du 23 au 25 mai 2016 à Bavaro, en République Dominicaine. Près d’un millier de participants issus des secteurs de la production, de la transformation, du négoce et du financement de la filière cacao sont attendus pour ce rendez-vous important qui fait suite à la Conférence Mondiale d’Amsterdam (WCC2 en juin 2014) et la Conférence Mondiale d’Abidjan (WCC1 en novembre 2012).
Jean-Louis Billon, Ministre du Commerce de la Côte d’Ivoire, sera l’un des intervenants principaux de la cérémonie d’ouverture officielle qui se tiendra, le lundi 23 mai, en présence de SEM Danilo Medina Sanchez, Président de la République Dominicaine. Monsieur Billon conduira une forte délégation ivoirienne composée notamment de Monsieur Aly Touré, Mme Massandjé Touré-Litsé, et de Monsieur Amani Konan (cabinet de la Première Dame).
Placée sous le thème général de l’avènement d’une d’économie cacaoyère durable, cette conférence fera notamment le point sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre de l’Agenda global du cacao. Ce document stratégique, faut-il le rappeler, avait été adopté, en novembre 2012, à Abidjan, comme une véritable feuille de route permettant de relever les principaux défis auxquels se trouve confronté le secteur cacaoyer mondial. Il convient de préciser, qu’en 2015, la Côte d’Ivoire s’était distinguée par l’élaboration d’un excellent plan national cacao, conformément aux recommandations de cet Agenda Global.
La Troisième Conférence Mondiale sur le Cacao examinera également des questions aussi pertinentes que l’expérience des cacaoculteurs, l’accès aux meilleurs matériaux végétaux, le financement de la recherche et du développement, l’éradication des nuisibles et maladies du cacao, la maîtrise des marchés à termes et des instruments financiers, le renforcement de la participation des jeunes et des femmes, le renforcement des plateformes de partenariats publics-privés, les programmes de certification et l’examen des tendances les plus récentes du marché, pour ne citer que ces points.
Cet événement majeur sera immédiatement suivi de la 93ème session du Conseil International du Cacao qui aura lieu du 26 au 28 mai 2016.

Une correspondance particulière de Francis

Rien ne va plus entre les travailleurs de l’ex-journal ‘’La Matinale’’ et la direction du Rdr, promoteur dudit canard. Depuis la fermeture du quotidien pro-RDR en décembre 2015,  les journalistes et autres agents sont restés sans suite quant au retour probable du journal sur le marché ou au paiement quelconque de leurs indemnités de travail. 

Le secteur de la presse ivoirienne est à nouveau secoué depuis un certain temps, mais cette fois par une affaire bien scabreuse. Au moment où le président de la République, Alassane Ouattara, se bat pour l’avènement d’une presse libre, crédible et indépendante dans notre pays, certaines personnes et non des moindres au sein de son parti, semblent avoir opté pour la clochardisation des journalistes. Ce fut bien le cas à l’ancien quotidien RDR, La Matinale où, durant 3 ans,  aucun journaliste n’a pu bénéficier ni de contrat de travail ni de bulletins de salaire encore moins de couverture sociale (déclaration CNPS). Pendant donc 3 années, les journalistes de La Matinale ont travaillé au noir avec des salaires bien en dessous de la Convention collective. Au vu et au su d’Amadou Soumahoro, secrétaire général par intérim du Rdr, de Mme Jeanne Peuhmond, Trésorière dudit parti et Directrice financière du journal, et de M. Diabaté Lanciné, Directeur de cabinet adjoint du SGI du RDR et Directeur de publication de La Matinale. Forcés à fermer le 31 décembre 2015 à la suite d’une décision unilatérale d’Amadou Soumahoro, les travailleurs de l’ex-Matinale attendent en vain l’ouverture, comme promis par le Directeur de cabinet adjoint du SGI du RDR, de la nouvelle maison d’édition dénommée ‘’Les éditions Vivre ensemble’’ supposée employer  l’ancien personnel de La Matinale. A défaut de cela, le paiement sans plus tarder de leurs indemnités de travail. « Le 30 décembre 2015, alors que personne ne s’y attendait, M. Diabaté Lanciné, au cours d’une réunion d’information, est venu nous annoncer, au nom du SGI du RDR, Amadou Soumahoro, la suspension ‘’pour un réaménagement technique’’ de La Matinale. 5 mois après la fermeture du journal, il n’y a toujours rien. Nous sommes fatigués d’attendre en vain un journal qui ne revient pas. Si le RDR a fermé son journal, qu’il ait le courage de dire aux travailleurs que le journal est fermé. Dans ce cas, il nous paie nos droits et on s’en va ailleurs. Mais, qu’il continue de ruser avec les travailleurs en tentant de faire croire que tout est bouclé pour le fameux nouveau journal qu’on ne voit pas depuis 5 mois, c’est un peu malhonnête», a dénoncé sous le couvert de l’anonymat un journaliste. « Nous avons tout fait pour rencontrer la direction du RDR afin qu’elle nous situe sur notre sort mais nous avons l’impression qu’elle évite de nous rencontrer. Comment un parti qui se dit être au pouvoir peut-il prendre plus de 5 mois pour créer un simple journal ? C’est une insulte à l’intelligence ! Si le ministre Amadou Soumahoro et le RDR ne nous verse pas nos droits, nous allons marcher sur la Rue Lepic. Pendant 3 ans, nous avons travaillé avec dévouement pour la promotion de sa politique de Vivre ensemble. Le RDR ne peut pas nous remercier comme de vulgaires travailleurs ramassés dans la rue. Le Président Ouattara n’acceptera pas cela», a-t-il craché. Créé  en juin 2012, à la fin de la crise postélectorale, La Matinale a fermé ses portes fin décembre 2015. Les raisons de la fermeture du journal n’ont jamais été données. Mais des langues indiscrètes parlent d’un malentendu financier entre Amadou Soumahoro et Bamba Alex Souleymane, ex-DG du journal. 

IMATIN.NET

Le Ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de l’Administration, Pascal K. ABINAN, a rencontré les responsables de la Plateforme Nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire, ce vendredi 20 mai 2016, à son cabinet sis au plateau. Cette rencontre a eu pour objectif d’entretenir les responsables de ce groupement syndical sur les points de leurs revendications. 
Une fois de plus, Monsieur le Ministre Pascal ABINAN a utilisé le dialogue pour amener les responsables syndicaux à être des acteurs actifs dans l’atteinte de l’émergence du pays à l’horizon 2020. 
En effet, suite à la commémoration du 1er mai 2016, certains mouvements syndicaux dont la plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire menaçaient d’observer des mouvements de grèves afin de réclamer l’application immédiate de leurs préoccupations. A savoir, le paiement du stock des arriérés des différentes décisions actées depuis 2009 et du déblocage des avancements indiciaires ; le retrait de l’ordonnance 2012-303 du 4 avril 2012 portant réforme des pensions de retraite gérées par la CGRAE et l’autorisation des précomptes syndicaux par la solde et l’arrêt immédiat des violations des libertés syndicales dans l’Administration publique.
Ayant eu vent de ces revendications, Monsieur le Ministre a tenu à se prononcer sur la vision du Gouvernement quant à l’amélioration des conditions de vie et de travail des fonctionnaires. D’entrée de jeu, il a rappelé à ses visiteurs que son département reste ouvert pour tous sujets d’ordre professionnel et qu’il est prêt à rencontrer toutes les organisations syndicales afin d’échanger sur toutes leurs préoccupations. 
Pour ce qui concerne le premier sujet de leur revendications, il a rassuré les responsables de la plateforme que le Gouvernement est hautement sensibilisé et conscient du problème de déblocage des avancements indiciaires de 2015. D’ailleurs des dispositions sont prises pour satisfaire certains détails relatifs aux avancements. 
Quant à la seconde préoccupation, c’est Abdramane T. Berthé, Directeur Général de l’Institution de Prévoyance Sociale- Caisse Générale de Retraite des Agents de l’Etat CGRAE, qui assistant Monsieur le Ministre, s’est prononcé sur la question. Il leur a signifié que le retrait de l’ordonnance ne serait pas bénéfique vu les nouvelles et meilleures prestations des pensions. Aussi, s’est-il rendu compte que ses interlocuteurs n’avaient pas une bonne compréhension de ce décret. Pour palier à cela, une rencontre est prévue en début de semaine prochaine pour en parler plus amplement.
En ce qui concerne le troisième point portant sur l’autorisation des précomptes syndicaux par la solde et l’arrêt immédiat des violations des libertés syndicales dans l’administration publique, le Ministre a souligné que cela n’est pas du ressort de l‘Etat qui a d’autres missions. Il a, par ailleurs, souligné le don de 800 millions remis au syndicats le 1er Mai par le Chef de l’Etat, qui est la preuve de la marque de solidarité du Gouvernement face aux difficultés qu’ils rencontrent sur le terrain . En outre, Il leur a fait comprendre qu’ils devraient emmener leurs syndiqués à cotiser pour pallier aux différents frais de leurs activités.

Dans son adresse, le président de la Plateforme, Gnagna Zadi Théodore a salué l’initiative de Monsieur le Ministre. Après les échanges, il constate que le gouvernement tient un discours nouveau qui est une avancée notable pour les fonctionnaires . Il a souhaité que les structures membres de son organisation fassent des propositions à la tutelle, afin de clore ce sujet. La plateforme des organisations professionnelles du secteur public est une faîtière de « 50 syndicats qui réunit tous les emplois de la fonction publique, et vise à améliorer le service public et les conditions de vie et de travail des fonctionnaires ».
La rencontre a pris fin par une photo de famille.

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Le coût d’accès à Internet va baisser en Côte d’Ivoire.
C’est, à en croire le ministre de l’Économie numérique et de la Poste, Bruno Nabagné Koné, l’ambitieux projet que le Gouvernement de Côte d’Ivoire veut voir réaliser, dans le cadre d’une décision qu’il prendra dans les prochains mois.
Faisant cette annonce au 2è jour de la 3ème édition des Journées de l’entreprise numérique (Jen), tenue au Palais de la Culture d’Abidjan, les 19 et 20 mai 2016, le ministre en charge de l’Économie numérique a appris à son auditoire que « le numérique représente une réelle opportunité pour le développement» de la Côte d’Ivoire. Pour lui, avec les Jen, la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), le Patronat ivoirien, s’inscrit dans le plan du Gouvernement de faire saisir les Techniques de l’information et de la Communication (Tic) comme une opportunité de développement. ... suite de l'article sur Soir Info

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Les Marine nationale ivoirienne a initié des manœuvres militaires en vue de sécuriser les côtes maritimes du pays, a-t-on appris vendredi 20 mai de source sécuritaire. Cette action compte dans le cadre de la lutte contre la piraterie.

Selon des officiers, il s’agit de renforcer le dispositif de surveillance et d’outiller les forces dans le but de faire face de manière efficace aux actes de piraterie maritime.

« Cet exercice qui se fait avec l’appui des partenaires dont la France, aidera la Côte d’Ivoire à mieux sécuriser son espace maritime », a noté le commandant de la marine nationale, le Contre- amiral Djakaridja Konaté. Le Contre-amiral Konaté s’est réjoui du renforcement de capacités de la marine nationale, lors de l’exercice conjoint franco-ivoirien.

« Nous avons été instruit » à manœuvrer en milieux hostiles », a-t-il noté, soulignant que les forces ivoiriennes ont acquis de nouveaux patrouilleurs auxquels s’ajoutent des vedettes et des hors-bords pour dynamiser la surveillance des 22.000 km2 de mer appartenant à la Côte d’Ivoire.

Depuis 2011, la marine nationale ivoirienne marine multiplie les manœuvres en haute mer, ce qui permet à cette force de monter en puissance.

A travers ces manœuvres, les unités d’élite de la marine ivoirienne veulent être en mesure d’intégrer une équipe opérationnelle projetée sur n’importe quel théâtre d’opérations.

Des années auparavant, la zone maritime du golfe de Guinée a connu plusieurs actes de piraterie. Face aux attaques menées par des pirates armés, les pays tentent de prendre des mesures sécuritaires d’envergure.

                                                                                            Christ Boli avec intellivoire/ ABIDJAN.NET

APA - La Présidente du Liberia Ellen Johnson Sirleaf est arrivée, lundi, en fin de matinée à Abidjan pour une brève visite d’amitié et de travail, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.

Mme Sirleaf a été accueillie à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan par son homologue ivoirien Alassane Ouattara. Les deux Chefs d’Etat se sont par la suite retrouvés dans un grand hôtel situé à proximité de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny pour une séance de travail. 

La présidente du Liberia devrait regagner son pays après son entretien avec le Président Alassane Ouattara. La semaine dernière, le Président Alassane Ouattara avait également reçu brièvement à Abidjan, son homologue du Niger, Mahamadou Issoufou. La sécurité dans la sous-région était au centre des échanges.

LS/APA/ ABIDJAN.NET